dimanche 1 décembre 2013

De diverses façons de nier la Wallonie

Ainsi la promotion de la connaissance du néerlandais et de l’anglais a pour but de nuire à la connaissance du français et à son enseignement. Tout est fait à Bruxelles et dans sa périphérie pour nuire à la langue française. On y développe un soi-disant muticulturalisme multilingue qui a pour but d’y faire disparaître la prééminance de la langue et de la culture française. L’annexion de Bruxelles par la Flandre est ainsi programmée.

Il faut donc que la langue et la culture française restent la marque indélébile de la nation wallonne. Mais les Wallons sont-ils conscients de ce qui leur arrive ? 

Si la Wallonie se reconnaît dans un territoire, veut-elle se gouverner par elle-même ? Non, l’esprit belgicain qui la domine  la conduit ainsi à voir son destin politique de région autonome  remis en cause, au nom de la Belgique à sauvegarder à tout prix !  

A moins que des personnalités politiques différentes, comme J-M Javaux, participent au redressement wallon en créant des organismes économiques comme Meusinvest dans les régions ou secteurs ou l’outil a été réduit à néant. (1)

De tels projets existent en Wallonie. Ils n’impliquent pas de devenir ministre… 

(1) On peut toutefois douter du réel investissement dans un sens wallon de M. Javaux, lui qui se flatte d’être invité au Palais, se félicitant même d’être assis au dixième rang des invités… Voilà qui donne un sacré coup dans l’aile populaire, et risque bien de faire de M. Javaux un nouveau camelot du roi…

Y. GEOBERT

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