COMMUNIQUE DE PRESSE du 9 octobre 2007
Une nouvelle fois, le sol wallon vient d’être violé, et le peuple wallon n’a pu qu’assister, incrédule et impuissant, à l’invasion de hordes germaniques rappelant pour certains d’entre eux de nauséabondes méthodes du XXème siècle.
N’allons pas par quatre chemins : ce qui s’est produit ce dimanche 7 octobre à la Butte du Lion est gravissime et préjudiciable pour l’ensemble de la Wallonie.
WALLONIE LIBRE condamme avec la plus grande vigueur de tels agissements, ayant pour but de nier l’appartenance de Braine-l’Alleud et de Waterloo à la Nation wallonne et, plus généralement, à l’Espace francophone.
Cette manifestation constitue aux yeux du Mouvement une violation flagrante de notre territoire, et une provocation scandaleuse, d’autant plus ridicule de la part de gens qui, au Nord, ne préconisent que le principe du droit du sol. Ce même droit du sol qu’ils nient au Sud !
WALLONIE LIBRE constate qu’une MANIFESTATION INTERDITE a pourtant eu lieu, que des éléments flamaingants violents ont pu se répandre sur le sol wallon, et, pire, que des représentants flamands ont eu l’autorisation de planter leur symbole de haine au pied du Lion, ; le tout avec la complicité évidente des autorités locales et des forces de l’ordre, ainsi que l’on prouvé les images télévisées.
WALLONIE LIBRE réprouve ces méthodes, dites « d’apaisement », dont se targuent les autorités, méthodes ayant eu pour conséquence, à nouveau, de transformer le site historique du champ de bataille en lieu d’une nouvelle défaite pour les Wallons et tous les francophones.
WALLONIE LIBRE s’étonne de la simultanéité de ces faits avec les déclarations tout aussi provocatrices et tapageuses de Mme Brigitte GROUWELS, ministre CD&V bruxelloise, et s’insurge contre l’immixion de celle-ci dans les affaires internes à la Wallonie.
WALLONIE LIBRE entend bien poursuivre son combat pour débarasser le sol wallon de ce genre d’événements, et compte interpeller les mayeurs du Brabant Wallon sur le sort réservé à leur province par certains hommes et femmes politiques flamands.
FLOBECQ, le 9 octobre 2007
(s) Le conseil général
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