Éditorial, de Jacques Dupont
Dans cette cacophonie et de brouhaha d’informations qui nous arrivent de toute part chaquejour, nous assistons en ces moments de combats préélectoraux à des passes d’armes pas toujours chevaleresques, parfois même flottant très bas, entre candidats avides de pouvoir.
Ah ! Le pouvoir, parlons-en !
Sans vouloir être complet ni doctrinal nous pouvons en vrac parler de certains pouvoirs.
Nous avons les pouvoirs politiques : législatif, exécutif, Parlement, députés et ministres, pour lesquels, le citoyen, même critique, perd, aujourd’hui, très souvent les pédales, dans ce que l’on appelle « les affaires ».
Ensuite, le pouvoir judiciaire s’imposant de plus en plus et pas toujours aussi neutre et indépendant des pressions extérieures qu’il voudrait nous le faire croire.
Quant au pouvoir financier et des banques, sans frontières, sans pitié ni règles autres que celles du profit égoïste des actionnaires de tout poil, il s’impose à tous, faisant la pluie et le beau temps. Y règnent en maîtres absolus quelques personnages au sang bleu, toujours assurés, en cas d’échecs, de parachutes dorés au frais du citoyen. Ils nous conduisent dans un monde qu’ils appellent virtuel, donc insensé puisque irréel.
Et dans cette marmite bouillante, à gros bouillons, un pouvoir médiatique pouvant devenir un agitateur effréné actionné par quelques faiseurs d’opinions téléguidés ou consacrés, au point de perdre leur qualité essentielle d’informations objectives et complètes. Comme nous le disions dans notre dernier édito, « il n’est pas toujours bon, pour certains, de dire et relater la vérité ».
Je m’arrête là, je pourrais continuer, mais à quoi bon ? Ce monde belge est fou et dans ce tourbillon de folie, il nous conduit à la dislocation, à la désintégration, au chaos. Rien d’étonnant d’entendre le citoyen dire qu’il en a marre, que voter ne sert à rien, que la crise commence à se faire sentir dans le panier de la ménagère, et pour couronner le tout, on nous annonce une épidémie de grippe « porcine », devenue « mexicaine », et aujourd’hui : « Ah », oui, la vie n’est pas toujours rose et les horizons s’assombrissent davantage. Mais ne soyons pas comme dans les années 1930, réceptifs aux
discours d’un certain Léon, le beau Léon, criant et hurlant à tout vent, que tout est pourri et qu’il faut mettre la barre « à droite toute » pour une « Wallonie d’abord ». Ces gens qui n’hésitent pas à voler le logo de Wallonie Libre et le drapeau au « Coq hardi », montrent par cet acte, leur turpitude et dévoilent leur mauvaise foi. Nous savons où REX nous a menés !
Pour d’autres, nous constatons simplement que Wallonie Libre gêne, ils jalousent, paradoxalement, sa crédibilité qu’ils veulent détruire. C’est si vrai que sur Internet, donc au vu du plus grand nombre, on trouve en tapant Wallonie Libre, des gens sous le couvert du logo de notre mouvement qui veulent se faire passer pour les sauveurs de la Wallonie. Usurper le logo de Wallonie Libre et salir ceux qui mettent un point d’honneur à respecter l’objectif du Mouvement révèle la bassesse de procédés indignes qui ne méritent pas qu’on s’y attarde, mais qui exigent d’être dénoncés. Le vol et la calomnie sont les armes des faibles et des minables.
Ceci dit, nous affirmons, plus que jamais notre détermination dans le combat initié en 1940 par nos Pères, pour la libération et l’indépendance de notre peuple. Indépendance face à l’État belgo – flamand, c’est ce qui permettra à la Wallonie de choisir en toute liberté son avenir dans le respect de la volonté de tous les Wallons.
Même si pour certains, nous le savons, les mots qui vont suivre sont vides de sens et inaccessibles, à Wallonie Libre, nous ne nous lasserons pas de répéter que c’est en rassemblant toutes les forces vives de Wallonie que nous vaincrons. Nous allons toujours au combat en ordre dispersé, c’est notre faiblesse dont profite notre adversaire du Nord. Sachons que la Flandre est bien décidée à nous coloniser totalement et, sans exagérer, à nous abaisser au rang d’esclaves. Leur jeunesse nous traite de rats.
Le Flamand a toujours raison, il peut violer la loi impunément, ne pas respecter la démocratie, c’est pour lui un acte de bravoure et louable. Exemples : non – nomination de bourgmestres élus, boycott d’élections, de recensements, trafic de statistiques, injures, insultes, sur les stades de sport, laxisme pour les agresseurs, punitions pour les agressés, etc.…. etc.… Où va-t-on ? À la…
J. DUPONTAh ! Le pouvoir, parlons-en !
Sans vouloir être complet ni doctrinal nous pouvons en vrac parler de certains pouvoirs.
Nous avons les pouvoirs politiques : législatif, exécutif, Parlement, députés et ministres, pour lesquels, le citoyen, même critique, perd, aujourd’hui, très souvent les pédales, dans ce que l’on appelle « les affaires ».
Ensuite, le pouvoir judiciaire s’imposant de plus en plus et pas toujours aussi neutre et indépendant des pressions extérieures qu’il voudrait nous le faire croire.
Quant au pouvoir financier et des banques, sans frontières, sans pitié ni règles autres que celles du profit égoïste des actionnaires de tout poil, il s’impose à tous, faisant la pluie et le beau temps. Y règnent en maîtres absolus quelques personnages au sang bleu, toujours assurés, en cas d’échecs, de parachutes dorés au frais du citoyen. Ils nous conduisent dans un monde qu’ils appellent virtuel, donc insensé puisque irréel.
Et dans cette marmite bouillante, à gros bouillons, un pouvoir médiatique pouvant devenir un agitateur effréné actionné par quelques faiseurs d’opinions téléguidés ou consacrés, au point de perdre leur qualité essentielle d’informations objectives et complètes. Comme nous le disions dans notre dernier édito, « il n’est pas toujours bon, pour certains, de dire et relater la vérité ».
Je m’arrête là, je pourrais continuer, mais à quoi bon ? Ce monde belge est fou et dans ce tourbillon de folie, il nous conduit à la dislocation, à la désintégration, au chaos. Rien d’étonnant d’entendre le citoyen dire qu’il en a marre, que voter ne sert à rien, que la crise commence à se faire sentir dans le panier de la ménagère, et pour couronner le tout, on nous annonce une épidémie de grippe « porcine », devenue « mexicaine », et aujourd’hui : « Ah », oui, la vie n’est pas toujours rose et les horizons s’assombrissent davantage. Mais ne soyons pas comme dans les années 1930, réceptifs aux
discours d’un certain Léon, le beau Léon, criant et hurlant à tout vent, que tout est pourri et qu’il faut mettre la barre « à droite toute » pour une « Wallonie d’abord ». Ces gens qui n’hésitent pas à voler le logo de Wallonie Libre et le drapeau au « Coq hardi », montrent par cet acte, leur turpitude et dévoilent leur mauvaise foi. Nous savons où REX nous a menés !
Pour d’autres, nous constatons simplement que Wallonie Libre gêne, ils jalousent, paradoxalement, sa crédibilité qu’ils veulent détruire. C’est si vrai que sur Internet, donc au vu du plus grand nombre, on trouve en tapant Wallonie Libre, des gens sous le couvert du logo de notre mouvement qui veulent se faire passer pour les sauveurs de la Wallonie. Usurper le logo de Wallonie Libre et salir ceux qui mettent un point d’honneur à respecter l’objectif du Mouvement révèle la bassesse de procédés indignes qui ne méritent pas qu’on s’y attarde, mais qui exigent d’être dénoncés. Le vol et la calomnie sont les armes des faibles et des minables.
Ceci dit, nous affirmons, plus que jamais notre détermination dans le combat initié en 1940 par nos Pères, pour la libération et l’indépendance de notre peuple. Indépendance face à l’État belgo – flamand, c’est ce qui permettra à la Wallonie de choisir en toute liberté son avenir dans le respect de la volonté de tous les Wallons.
Même si pour certains, nous le savons, les mots qui vont suivre sont vides de sens et inaccessibles, à Wallonie Libre, nous ne nous lasserons pas de répéter que c’est en rassemblant toutes les forces vives de Wallonie que nous vaincrons. Nous allons toujours au combat en ordre dispersé, c’est notre faiblesse dont profite notre adversaire du Nord. Sachons que la Flandre est bien décidée à nous coloniser totalement et, sans exagérer, à nous abaisser au rang d’esclaves. Leur jeunesse nous traite de rats.
Le Flamand a toujours raison, il peut violer la loi impunément, ne pas respecter la démocratie, c’est pour lui un acte de bravoure et louable. Exemples : non – nomination de bourgmestres élus, boycott d’élections, de recensements, trafic de statistiques, injures, insultes, sur les stades de sport, laxisme pour les agresseurs, punitions pour les agressés, etc.…. etc.… Où va-t-on ? À la…
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